Le sommeil et le repos sont deux besoins primordiaux du corps. Cependant, de nombreuses personnes y accordent très peu d’importance. D’autres, affectés par les troubles de sommeil, n’arrivent pas non plus à bien dormir pour se reposer. Quels sont néanmoins les bienfaits d’un sommeil de qualité ? Nous vous en parlons ici.
Sommeil de qualité : de quoi s’agit-il ?
Le sommeil est un état d’inactivité totale du corps. C’est un état d’inconscience dans lequel tous les organes du corps se reposent. Découvrez des astuces pour votre bien-être sur topchrono.biz. Un sommeil de qualité doit ainsi permettre à l’organisme de regagner son énergie. De nombreux facteurs affectent le sommeil et d’autres en définissent la qualité. Les stimulants, un mauvais style de vie, sont autant de facteurs qui peuvent avoir des répercussions sur la qualité du sommeil. De nombreux scientifiques s’accordent à définir quelques facteurs faisant la bonne qualité du sommeil. Selon eux, un sommeil de qualité doit avant tout durer en moyenne huit heures. Il doit aussi occuper la majeure partie du temps passé au lit. Après s’être couché, cela ne doit pas non plus durer plus de 30 minutes pour dormir et l’on ne doit se réveiller qu’au plus une fois la nuit. Après s’être réveillé, cela ne doit durer plus de 20 minutes pour retourner dans son sommeil.
Quelques bienfaits du sommeil de qualité
Un sommeil de qualité possède des bienfaits aussi bien sur la santé physique que celle qui est mentale. Il permet d’abord d’optimiser le système immunitaire. Durant le sommeil, les cellules et les tissus puisent l’énergie nécessaire pour se régénérer, ce qui rend plus performant le système immunitaire. Dormir la nuit permet au cœur et aux artères de se reposer. C’est un moyen de prévenir les problèmes cardiovasculaires. Pendant le sommeil, le cerveau devient plus actif. Il parvient donc à faire la synthèse des informations obtenues durant la nuit. Le sommeil favorise aussi la production de certaines hormones qui réduisent le stress et l’anxiété. Il régule aussi le métabolisme en diminuant la production de ghréline responsable de la stimulation de l’appétit.